Depuis le 20 janvier, le IVème Festival de Musique de la Plaza Vaticano bat son plein, et ce jusqu’au 20 février. Durant quatre semaines, des spectacles d’opéra, des ballets et des concerts provenant des théâtres et festivals de musiques les plus importants du monde seront projetés sur l’écran géant de la Plaza Vaticano.

L’objectif est d’offrir gratuitement ces spectacles au public de la capitale, alors qu’ils n’ont encore jamais été présentés à Buenos Aires. Parmi les œuvres qui apparaitront à l’écran, deux récents ballets contemporains du chorégraphe français Thierry Malandain: « Noé » et « La Belle et la Bête », des créations de Malandain Ballet de Biarritz
« Noé » s’inspire du mythe du Déluge, symbolisant la naissance d’un nouveau monde meilleur que le premier, où disparaissent le mal et la défaillance des hommes.

Noé et les siens vont repeupler le Monde, mais l’Arche n’embarquera pas l’intégral des animaux, juste une humanité en mouvement, figure symbolique et dansante de Noé.

« La Belle et la Bête » peint un récit initiatique du conte, visant à résoudre la dualité de l’être : la Belle incarnant l’âme de l’être humain et la Bête incarnant sa force vitale et ses instincts.

Sur la Plaza Vaticano, lundi 8 février à 20h (« Noé ») et jeudi 15 février à 20h (« La Belle et la Bête »). L’accès est libre et gratuit.